Je lui séchais comme je le pouvais, elle avait vraiment les cheveux très long. Ils étaient même incroyablement, forcément, comme toute homme, je restais émerveillé dessus, comment pouvait on avoir les cheveux si long ? Et même, comment l’on pouvait supporter ? Cela devait être lourd et gênant, surtout qu’ils étaient détachés, à chaque rafale de vent ses derniers devaient lui arriver dans la figure, vraiment comment faisait elle ? J’étais admiratif, je crois que jamais auparavant je n’avais vu une longueur pareille. Généralement, les cheveux de ses demoiselles arrivés mi-dos et encore, ce n’était pas toujours le cas, mais non elle, ils étaient plus long. Je posais la serviette et continuais tranquillement, cela me réchauffait, bouger me réchauffait. Mais, ce que je craignais arriver, Fuyu s’énervait, je ne bougeais plus, laissant la serviette dans ses cheveux qui étaient toujours mouillé ;

-Tu veux pas arrêter un peu? Pourquoi est-ce que tu te dégrade tout le temps comme ça? Tu es un humain oui, et alors? Ça ne veut pas dire que tu n'as aucune valeur! Et puisqu'on en parle, tu es humain et moi je suis une dobutsu. Ma résistance physique est bien meilleure que la tienne! C'est vrai que je pourrais peut-être attraper froid mais les humains peuvent mourir de froid! Je sais parce que c'est comme ça que je suis morte moi!

Après ses paroles, je restais quelques instant sans bouger, la première chose qui me venait à l’esprit n’était pas forcément la meilleur solution, non même pas du tout, mais cela me venait tout naturellement. J’enlevais la serviette de ses cheveux, je la plaçais sur le sol, de toute manière, elle était trempé et ne pouvait plus servir et j’allais me placer devant elle, j’étais sur mes genoux. Je voulais sourire, mais au moment où j’arrivais devant elle, la jeune fille avait les larmes aux yeux. Je la regardais avec des grands yeux ronds et je le prenais dans mes bras. Je mettais mes bras autour de son cou et je me mettais contre elle. J’étais plus grand qu’elle, ma tête arrivait donc sur la sienne. Je ne bougeais plus, c’était ma façon de m’excusais et surtout de la calmer… Elle était morte de froid… J’étais vraiment désolé et toutes les phrases du monde ne pouvaient rien y changer, cependant je supposais que dans un tel instant il fallait dire quelque chose. Tout d’abord, je voulais me faire pardonner, je ne voulais pas l’énerver et encore moins lui rappelais la façon dont elle avait perdu la vie. Personne n’aimait se rappeler des choses qui faisaient mal. Je me décrochais un peu d’elle, restant toujours proche et je regardais ses yeux, je ne souriais plus, je devais faire une telle bizarre, moitié confus moitié désolé et… Ha non, deux moitiés font une tête… Ma tête, mon sourire, mon visage, mes yeux, tous de cette dernière était désolé. J’enlevais mes bras et son cou et j’allais, avec mes mains essayer les larmes qu’elle avait sous ses yeux. Je regardais son visage ;

-Je suis vraiment désolé… En fait… Je ne sais même pas quoi te dire… Mais, s’il te plait, ne pense plus à ton passé, te voir triste, pleurer c’est vraiment la pire des choses…

Je m’écartais d’elle et je m’asseyais sur le sol, je ne souriais plus et j’étais bien trop mal à l’aise pour la regarder de nouveau. Mon regard allait vers le sol, j’entendais la voix de Fuyu ainsi que celle de Jack, mais je ne réagissais même plus, à peine avait-il terminé leurs phrases que je ne souvenais même plus ce qu’ils avaient dit. Je ne savais pas quoi faire, quoi dire, je ne voulais pas l’énerver une nouvelle fois, alors la meilleure solution était de ne rien dire non ? J’étais vraiment perdu. Elle est Jack continuaient de parler, tandis que je sentais que j’avais de nouveau froid, mon corps me répondait de nouveau mal, mais de toute manière, je ne pouvais pas dire que je bougeais vraiment. Je me contentais de respirer et cligner des yeux, mon regard toujours dans le vide. D’après ce que je comprenais, elle devait me parler, mais je n’écoutais pas. La seule chose que je comprenais été qu’elle me mettait, de nouveau le sweat. Fuyu me l’enfilait, je remontais mon regard vers elle, je la regardais à peine deux secondes avant de le redescendre. Oui, j’étais vraiment mal à l’aise, je la laissais faire, passant un peu pour une poupée qu’on habillait. Ses poupées comme les Barbie, enfin, comme j’étais un homme, j’étais plutôt Ken.

-Tiens mange ta barre chocolatée et sèche toi. Je vais sortir pendant quelques minutes. Je vais appeler mon esclave pour qu'il vienne nous chercher. On va aller chez moi ce n'est pas très loin. On te trouvera des vêtements secs là-bas. Encore une chose, je vais crier très fort, si tu as besoin bouche -toi les oreilles. Bon, j'y vais, mange et sèche-toi, je laisse Jack avec toi.

Puis, elle me mettait la barre céréales dans la bouche, je comprenais donc qu’il fallait que je la mange, je commençais doucement, je n’avais pas très faim, c’était donc assez dur de la manger. J’y allais vraiment doucement, je me voyais mal la vomir… J’avais seulement écouté qu’elle allait partie quelques instant, mais je ne savais pas pourquoi. Je restais assit, finissant de manger la barre. J’avais Jack en face de moi. Je posais mon regard sur lui, cela changeait du sol et il parlait, je l’entendais parler tout seul, il devait certainement parler du temps ou bien du bâtiment dans lequel nous étions. J’avais finit la barre, je mettais l’emballage vide dans ma poche et à l’ instant où je finissais un crie arrivait à mes oreilles. Il était perçant et pas agréable à écouter. Je regardais en direction de la porte, je la regardais avec attention, attendant le retour de Fuyu, qui je pensais n’allait pas tarder.
Quelques secondes plus tard, une personne toquait à la porte ;

-Fuyu !

Cette personne entrait, enfin ses personnes, il y avait deux personnes, Fuyu et une autre personne, mon regard allait vers l’autre personne puis en direction de la jeune fille. Non, j’étais incapable, avec un regard toujours gêné, je baissais rapidement mes yeux. J’étais content qu’elle soit de retour, mais je ne savais toujours pas quoi lui dire, je voulais m’excuser une nouvelle fois, mais le moment n’étais sans doute pas propice à cela.

-C'est mon esclave! Il va nous ramener à la maison.

Je faisais un rapide bonjour de la main à son esclave, il fallait bien être poli dans la vie, bonjour était la politesse, c’était peut être qu’un esclave mais ce n’était pas une raison pour ne pas le faire. Mon geste devait surprendre Fuyu, car oui, peu de personne disait bonjour à un esclave.
L’esclave me mettait sur mon dos, je regardais son dos. Discrètement, je lançais des regards en direction de Fuyu, elle tenait Jack dans ses bras. Nous partions donc en direction de son manoir. Je me demandais comment il pouvait être. Puis, finalement, je posais mon regard sur Fuyu et pendant tous le trajet qui ne durait pas longtemps je ne cessais de la regardais. Je voulais lui parler, mais je ne savais pas quoi lui dire, alors je ne disais rien et rester silencieux. Après quelques courtes minutes, nous arrivions devant le manoir. L’esclave ouvrait la porte et nous commencions à pénétrer à l’intérieur.

Fuyu fut surprise de voir son ami saluer l'esclave. Ce n'était pas commun comme attitude. Enfin, on parlait de Saint Zack. Il était surement le genre de personne qui se jetterait sous une voiture pour sauver la vie à un vers de terre qui passait par là. Bon, peut-être pas un vers de terre, parce qu'il ne pourrait probablement pas le voir, mettons un chien. C'était quand même incroyable qu'on puisse se soucier autant du bien être des autres. Se pourrait-il qu'il ait été prêtre avant d'arriver en Enfer. Quoique si c'était Saint Zack, il aurait du au moins être pape. Mais qu'est-ce qu'un pape viendrait faire en Enfer? Il avait peut-être demander à Charon de l'emmener en Enfer pour apporter l'amour de Dieu aux pêcheurs...Il était sacrément dévoué Saint Zack. Il se pourrait que "Saint Jacques de Compostelle" soit en fait "Saint Zack de Compostelle". Les gens du coin ont probablement cru que celui qui leur avait annoncé le nom zozotait et avait remplacé Zack par Jacques.

Perdu en plein délire Fuyu ne remarqua pas tout de suite qu'ils étaient arrivés à la demeure. L'esclave avait pris les devants et avait ouvert la porte. Il avait même commencer à se diriger vers la salle de bain, Zack toujours sur son dos. C'est donc après qu'ils eurent atteint la porte de la-dîtes salle de bain que la neko revint à la réalité. L'esclave avait déjà emmené Zack à l'intérieur. Fuyu ne sachant trop que faire les suivit à l’intérieur. L'esclave était occupé à faire couler l'eau des cinq robinets en cuivre. La baignoire qui avait la taille d'une piscine commença à se remplir doucement. L'esclave sortit ensuite des serviettes d'un placard dissimulé et les posa sur un petit banc prévu à cet effet situé à côté des marches qui permettaient de descendre dans l'eau. Se sentant relativement inutile la fillette entreprit de tester la température de l'eau. Elle bougea ensuite les quinze bouteilles de shampoing, savon..., pour qu'elles soient plus visibles. Elle se releva et, en langue des signes, ordonna à son esclave d'aller chercher des vêtements pour Zack et de mettre les vêtements mouillés à laver. Ceci fait elle se dirigea vers la porte.
-Je te laisse te baigner. L'esclave va rester devant la porte pour que personne ne te dérange. Si tu as besoin de quoi que ce soit appelle-le.
-Quand t'auras fini y t'amèneras au salon. On va aller prendre un bain en attendant.

Avec un petit signe de la main Fuyu s'éclipsa. Elle trottina jusqu'à la cuisine où elle demanda à la cuisinière de préparer des chocolats chauds et des gâteaux pour qu'ils puissent manger en sortant du bain. Elle emmena avec elle l'aide cuisinière qui servait aussi de bonne et partit vers sa salle de bain privée. La salle de bain privée n'était utilisé que par Fuyu et parfois Shirohime et se trouvait non loin de la chambre de la fillette. Elle était plus ou moins de la même taille que l'autre salle de bain mais était doté d'un accès direct à l'immense placard où se était rangées les multiples robes de la fillette. La bonne aida Fuyu à se déshabiller puis emmena les vêtements sales pour les laver. Fuyu plongea ses orteils dans l'eau afin de vérifier que l'eau n'était pas trop froide. Voyant que l'eau était suffisamment chaude elle y entra complètement. Elle se savonna le corps et joua avec Jack en attendant que la bonne revienne pour lui laver les cheveux. Sa chevelure était beaucoup trop longue pour que Fuyu s'en occupe elle-même. Généralement c'était Shirohime qui était chargé de l'aider. Mais quand elle n'était pas là ce rôle retombait sur la première employé disponible. La bonne revînt par la porte donnant sur le dressing en portant des vêtements propres. Elle les déposa sur un petit banc et s'avança pour laver les cheveux de sa jeune maîtresse. Cette besogne achevée, elle aida la fillette à sortir et l'enveloppa dans la serviette. Pendant que Fuyu se séchait, la bonne séchait Jack. D'abord avec une serviette puis avec le sèche cheveux. Elle se retourna vers Fuyu pour l'aider à mettre sa robe. La bonne avait choisi un kimono bleu nuit que Fuyu ne portait que pour de grandes occasions. Le kimono était un kimono comme ceux que les nobles japonaises portaient autrefois. Il était donc extrêmement difficiles à mettre seule.

Lorsqu'elle qu'elle fut enfin habillée et que la bonne eut fini de lui faire un chignon orné de ruban, Fuyu put enfin sortir de la salle de bain et se diriger vers le salon. La bonne avait été très excitée en voyant la maîtresse des lieux ramener un ami et en plus un homme à la maison. Elle avait donc insisté pour que la jeune fille soit la plus belle possible. Fuyu l'avait laissé faire sentant qu'elle ne pourrait la faire changer d'avis quoi qu'elle dise. Portant Jack avec la main gauche, elle ouvrit la porte du salon avec la main droite. Zack était déjà assis sur l'un des fauteuils du salon. La fillette s'avança vers lui en souriant.
-Désolé, j'ai pris un peu de temps.
-La bonne était surexcité! Ellea passer des plombes à mettre ton kimono et à te coiffer.
La neko ignora ce dernier commentaire et examina Zack. Il semblait aller mieux. Il n'y avait plus aucune trace de son teint bleu et il avait cessé de grelotter.
-Ça va mieux maintenant?

Je regardais autour de moi, tout était si grand, cela me faisait rêver. C’était beau et grand, mon petite appartement faisait miteux, il ne faisait même pas un cinquième de l’entré. J’étais toujours sur le dos de l’esclave, le pauvre, il devait en avoir marre et il devait me trouver lourd à force. Je n’étais pas un homme très léger, je ne faisais pas un poids énorme non plus, mais avec les minutes qui défilaient, il devait peiner. Je descendais de son dos quant nous arrivions à une salle de bain ? Non, ce n’était pas possible, c’était une piscine, un bassin de vingt cinq mètre. C’était immense, je regardais la pièce avec de grand yeux, je me disais qu’ils étaient complètement fous ici. A quoi bon avoir une… baignoire d’une telle taille ? Et avec autant de produit ? Fuyu, qui était là, testait l’eau, elle avait l’air d’être à son goût vu qu’elle ne disait rien, puis, elle m’expliquait quelques petites choses avant de s’en aller. Je me retrouvais tout seul dans cette immense pièce. Je regardais un peu autour de moi. L’esclave avait posé des serviettes propres ainsi que des vêtements. Je me demandais quel type de vêtements cela pouvait être, je pensais que peu d’hommes entraient dans cette demeure. Elle avait le parfum de femme et non celui d’homme.

J’enlevais mes vêtements et je les posais soigneusement en les pliants sur une chaise, je ne voulais pas tout mettre en désordre, je ne pouvais pas faire comme chez moi et j’avais des manières, même si le monde dans lequel Fuyu vivait n’était pas du tout le mien. Elle vivait dans le luxe le plus complet. Je l’envier quand même… J’entrais dans l’eau. La température était divine, je me collais contre une des parois de la piscine… Heu, non… Baignoire et je me recroquevillais sur moi-même, je restais ainsi sans bouger de longues secondes. Cet endroit était le paradis. Je mettais la tête sous l’eau avant de la ressortir et je regardais les champoings et gels douches, il y en avait tellement que je prenais le premier qui passait par là. Je commençais par me laver les cheveux, puis le corps. Le gel douche avait une odeur très féminine, il était assez agréable à sentir.
Je faisais plutôt rapidement, ne voulant pas la faire attendre. Je sortais de l’eau complètement réchauffé. Je prenais une serviette et je m’essuyais avec, elle était douce, cela changeait de celles que j’avais qui étaient vieilles, très vieilles. J’allais enfin découvrir les vêtements que l’esclave avait prit. C’était un costard, il était magnifique, il y avait même une cravate. J’enfilais les vêtements et je faisais le cravate, bon… La cravate, ce n’était pas franchement une réussite, je ne savais pas très bon, voire, même pas du tout comment cela ce faisait. Pourtant je m’appliquais, je perdais au moins trois, quatre bonne minutes à faire, refaire et rerefaire le nœud mais sans un franc sucés.

Je sortais de la salle de bain, l’esclave était là, devant la porte, debout, il ne disait pas un mot, je le regardais en souriant et il m’emmenait en silence au salon. Nous marchions pendant quelques secondes avant d’y arriver. Il était lui aussi immense, tout ici était si grand, un château de compte de fée. C’était tellement magnifique et agréable à regarder. De plus, tout était propre, je me sentais un peu mal à l’aise, cet univers n’était pas le mien. Je me sentais de trop, mon rôle était de faire le ménage et non être un invité dans une demeure pareil. Timidement et sous ce que me montrait l’esclave, je m’asseyais sur un fauteuil. Il était très confortable. Je restais au bord de ce dernier, regardant l’esclave puis la pièce. Le plafond était haut, les meubles large et luxueux. Tout dans cette pièce montrait à quel point cette famille était riche. La demeure rêvée. L’ambiance était douce, oui, elle était un perdu au milieu de tout, mais ce château était agréable.
Un bruit de porte ce faisait entendre, je me retournais et je voyais Fuyu arrivait. Je la regardais avec de grand yeux, elle était magnifique, je n’avais même pas remarqué Jack et sa servante. Mon regard ce posait sur elle. Je me levais et remettais mes vêtements en place, je ne bougeais pas, je restais là, la regardant, faisant un grand sourire avec les yeux brillant. Elle était une jeune femme vraiment très belle. Ses cheveux étaient attachées par un petit ruban et elle était vêtu d’un kimono bleu nuit. Fuyu s’approchait de moi, elle ne ressemblait plus du tout à la Fuyu que j’avais vu aux sources, elle était bien plus élégante, elle ressemblait à une princesse, j’avais l’impression de rêver, d’être dans un compte de fée, avec une vraie fée ;

-Désolé, j'ai pris un peu de temps.

Je n’avais pas attendu bien longtemps, j’étais arrivé quelques minutes à peine avant elle, et pour un résultat si merveilleux, cela valait vraiment le coup d’attendre. Je la regardais toujours et je ne pouvais m’empêcher de lui dire ce que je pensais ;

-Tu… Tu… Tu es magnifique…

Je n’avais peut être pas du lui dire, mais cela était tellement vrai que je ne pouvais pas ne pas lui dire. Elle continuait de venir dans ma direction, elle souriait en plus, je n’en demandais pas autant. J’allais à sa rencontre et je me mettais à côté d’elle lui proposant mon bras. Oui, j’étais un peu ridicule, mais une princesse ce devait de faire attention ou elle marchait.

-Ça va mieux maintenant?

-Oui, je te remercie… C’est grâce à toi. Merci, beaucoup…

J’étais un peu gêner que l’on vienne à mon aide, je n’aimais pas ça…


(désolé, plus court que d'habitude ^^')

Fuyu se sentait un peu gênée quand Zack lui avait sorti qu'elle était magnifique avec un grand sourire et les yeux brillants, elle n'avait pas su quoi dire. Non mais c'est vrai quoi, ce n'est pas quelque chose qu'on vous dit tout les jours! Bien sur Jack, lui faisait souvent des remarques positives sur son apparence. Seulement lui il ne faisait pas dans le compliment direct. Dit par Jack, "Tu es magnifique" serait "Ouais ça te va plutôt bien". Ce qui ne faisait tout de même pas le même effet.
Ne sachant que répondre Fuyu avait changer de sujet. A la place du merci qui lui brûlait les lèvres, la jeune fille s'était enquit de l'état du jeune homme. Il était venu jusqu'à elle pour lui proposer son bras et lui avait répondu qu'il allait beaucoup mieux tout en la remerciant profusément.

Zack accompagna la jeune fille jusqu'à un fauteuil en face du sien. Il avait vraiment fier allure dans ce costume. Si elle n'avait pas vu ses vêtements précédent Fuyu aurait pu croire qu'il venait d'une bonne famille. Lorsqu'il se fut rassi, elle se décida enfin à montrer qu'elle avait apprécier le compliment qu'il lui avait fait.
-Ahem...Tu n'as rien à m'envier: le costume te vas très bien.
Fuyu espérait qu'il comprendrait le sens caché de la phrase parce qu'elle ne pensait pas être capable d'être plus claire que ça sans trahir ses émotions. Détournant le regard du jeune homme, elle fit mine de replacer Jack sur ses genoux. Un bruit de vaisselle lui fit relever la tête. La bonne venait de poser un plateau sur la table basse devant eux et en retirai les deux tasses de chocolat chaud, le bol de sucres et les biscuits. La bonne souleva délicatement une des tasses et l'apporta à l'invité puis elle apporta la seconde tasse à la maîtresse de maison comme le voulait l'usage. Cela fait, elle repris son plateau, courba la tête en direction de Zack et de Fuyu, et s'éloigna en silence. Lorsqu'elle eut atteint la porte située derrière le fauteuil de Zack elle se retourna. Avec un sourire qui lui remontait jusqu'aux oreilles, elle regarda sa maîtresse et leva le pouce de sa main libre. Fuyu faillit s'étrangler sur son chocolat chaud. Décidément, tout le monde était bien trop excité! Certes, c'était la première fois qu'elle ramenait quelqu'un à la maison, un homme de surcroît. Mais ce n'était vraiment pas la peine d'en faire autant. D'ailleurs quelque chose lui disait que le compliment de Zack n'était pas tombé dans l'oreille d'un sourd. Il y avait fort à parier que tout le personnel de la maison avait l'oreille collée à la porte.

-Je suis vraiment désolé. Tout le monde est très excité parce que c'est la première que je ramène quelqu'un à la maison.
Elle sentait que l'explication était nécessaire, le pauvre garçon devait se sentir gêné devant cet étalage de bonnes manières. Fuyu soupira en secouant la tête. Elle sourit à nouveau à Zack et ajouta:
-Si tu veux des gâteaux n'hésite pas à te servir.
Il ne manquerait plus qu'il se retienne de manger par peur que son geste ne paraisse déplacé. La jeune fille comprenait tout à fait l'effet que cela avait lorsqu'on entrait pour la première dans une demeure aussi luxueuse alors qu'on est d'humbles origines. Avant sa mort elle avait vécu modestement. Ce luxe n'était venu qu'après son arrivée en Enfer après qu'elle ait rencontrer Shiro. C'était la poupée qui l'avait fait entrer dans ce monde privilégié. Bien sur, on ne faisait pas tant de cérémonies dans la vie quotidienne. Fuyu avait refusé. Elle ne comptait pas se forcer à devenir une princesse pour préserver les apparences. De toute façon, elle n'avait pas l'intention de se rapprocher de cette communauté qu'on formé les riches. La jeune fille détestait avoir des obligations, et pour elle les soirées mondaines en était une. Elle évitait comme la peste ces rassemblements où tout les invité portait un masque souriant et vous insultait subtilement derrière des phrases de courtoisie.

Fuyu porta la tasse à ses lèvres et but une gorgée de chocolat. Il était vraiment bon. La cuisinière avait mit au point une recette complexe pour faire ce délicieux chocolat. C'était la boisson préférée de Fuyu et bien qu'elle n'en ait jamais rien dit c'était sans doute celle de Shirohime aussi. Le chocolat chaud était donc devenu la boisson officiel de la maison. A la place du thé on servait du chocolat. La neko se tourna vers son invité. Elle ne lui avait pas demandé s'il aimait le chocolat peut-être préférait-il un thé?
-Tu aimes le chocolat? Ou est-ce que tu préfère boire autre chose?

J’étais à ses côtés, je la regardais toujours de la même manière, elle était splendide, je n’arrivais même pas à trouver les mots pour décrire la beauté dont elle faisait preuve. La jeune fille avait accepté mon bras et je l’en remerciais car elle n’était pas obligée. Fuyu le tenait et doucement je l’emmenais vers un fauteuil. Non, c’était plutôt elle qui m’emmenait, car je ne savais pas ou elle voulait s’assoir. La pièce disposait de plusieurs fauteuils qui étaient tous pareil et qui formaient un rond autour d’une petite table. Elle ce m’était donc en face de moi, et je reprenais mon bras une fois que cette dernière était bien installée. Je regagnais mon fauteuil, la regardant de la tête aux pieds une fois assit. Fuyu avait vraiment tout pour plaire, je passais le passage ou elle a de l’argent, car ce n’est pas cela qui faisait le charme d’une personne, non, c’était sa façon d’être, même la beauté d’une personne devait être un plus… Enfin au départ. La demoiselle était très gentille, simple, souriante quand on la connaissait, à l’écoute des autres personnes et en plus, elle était très belle. N’importe quels hommes normalement constitué tomberaient amoureux de cette charmante demoiselle sur le champ. Je ne le niais pas, elle me plaisait, elle me plaisait même énormément… Il fallait être honnête de temps en temps… Bien sûr et c’était assez évident, je ne lui disais pas. La mettre mal à l’aise, je ne le voulais pas.
Je la regardais bêtement, un peu comme un enfant et je rigolais, je rigolais bêtement en baisant la tête. J’étais assis sur le bord du fauteuil, je n’étais pas chez moi, alors je n’osais pas m’assoir au fond.

-Ahem...Tu n'as rien à m'envier: le costume te vas très bien.

Venait-elle de me faire un compliment ? Oui, je le pensais, cependant elle ne le disait pas clairement. Ce n’était pas grave, je comprenais ou elle voulait en venir et je la remerciais avec un sourire. Puis, sans doute gêné, elle changeait son regard de direction, qu’avait-elle ? Je ne comprenais pas. Avais-je fait quelque chose qui la dérangeait ? Je ne savais pas. Fuyu installait son Jack sur ses genoux, à force de la regardais j’en avais oublié son truc. Il me mettait mal à l’aise, j’espérais au moins qu’il ne savait pas lire dans les pensées, sinon j’aurais été assez mal. Cela faisait un moment qu’il n’avait pas parlé non plus et je n’allais pas me plaindre, à chaque fois qu’il disait une parole, cette dernière n’était pas très sympathique, je voyais très bien qu’il ne m’appréciait guère et je ne savais même pas pourquoi.
La servante venait dans la pièce, je me tournais dans sa direction avec un grand sourire et je la regardais. Elle tenait un plateau avec des tasses dessus et une assiette contenant des petits gâteaux, elle posait une des tasses devant moi et l’autre devant Fuyu. Je n’étais pas à l’aise et je la remerciais. Normalement, ce n’était pas moi qui me faisais servir mais les autres que je servais. Ce qu’elle faisait, me donner une tasse ainsi, alors que je n’étais qu’un simple humain, me m’était vraiment mal à l’aise.
Je regardais la tasse sans y toucher, elle contenait du chocolat chaud, il avait l’air très bon, je me demandais comment la servante l’avait fait. Il ne ressemblait pas du tout à celui que je faisais, il avait l’air bien plus crémeux, il fallait dire que je n’étais pas riche non plus et je me contentais du premier prix. Je n’osais pas toucher à la tasse, je regardais Fuyu en train de le boire et je me demandais si vraiment j’avais le droit. Je ne touchais à rie, regardant les petits gâteaux et la jeune fille qui buvait.

-J’ai vraiment le droit ? Désolé… Je n’ais pas l’habitude…

Je regardais toujours sans y toucher. Je voulais d’abord la confirmation de la demoiselle. Ce n’était pas de ma faute, je pensais qu’elle pouvait le comprendre et elle devait bien se douter que j’allais réagir de cette manière. Je ne savais pas ce qu’il ce passait mais Fuyu avalait à moitié de travers, je me levais et la regarder, près à l’aider ;

-Ca va ?

- -Je suis vraiment désolé. Tout le monde est très excité parce que c'est la première que je ramène quelqu'un à la maison.

Je m’asseyais de nouveau sur le siège, voyant qu’elle allait bien. Première fois ? Cela voulait dire qu’elle n’avait jamais eu de petits copain ou bien de relation quel qu’on que ? Non, je n’en croyais pas un mot, ce n’était pas possible. Cette position me mettait encore plus mal à l’aise, les personnes qui étaient sous ses ordres devaient attendre bien plus qu’un simple chocolat durant ma venue. Mais… Je devais faire quoi ? Je n’étais pas là pour cela, je ne savais vraiment pas quoi faire.

-Ca veut dire… que… Tu n’as jamais eu de petit ami ? … Désolé, ma question est déplacé, c’est juste que je trouve ça tellement surprenant… C’est vrai, quand même, quand on te regarde et qu’on te parle, plein d’hommes doivent te courir après.

Y avait-il en sous entendu derrière ? Oui, sans doute… D’un côté ma question ressemblait plutôt à cela «es tu en couple en se moment ? ». Cela ne servait à rien de le cacher, je faisais juste preuve de tact, je n’allais tout de même pas poser la question ainsi, cela ne se faisait pas et je le savais. J’y allais donc en douceur et puis même, que pouvais je faire même si la réponse était négatif ? Je ne savais pas… Fuyu baissait la tête avant de la remontait et de me sourire, sourire que je lui rendais dans la seconde et elle reprenait la parole ;

-Si tu veux des gâteaux n'hésite pas à te servir.

Je la regardais mal à l’aise et je finissais par en prendre un. Il était très bon. Etait-ce sa servante qui les avait faits ? Si tel était le cas, elle en avait eu du courage. Je ne voulais pas déranger et en prendre un autre, j’étais un invité certes, mais un humain, habitué à faire le sal boulot et non être là. Je n’avais toujours pas touché à la tasse de chocolat, non pas que je n’aimais pas, mais, la servante devait s’être trompé, ce ne devait pas être pour moi, ce n’était pas possible.

-Tu aimes le chocolat? Ou est-ce que tu préfère boire autre chose?

-Non, non, ça me va, j’aime, je suis désolé, je vais le boire, ta servante ce donne vraiment du mal.

A peine avais-je finit de dire cela, qu’une musique ce faisait entendre dans la pièce. Elle était douce. Je comptais les temps, il y en avait trois. Une valse ? Oui, c’était bien ça, une valse. Je regardais Fuyu, devais lui demander une dance ?

-Ca veut dire… que… Tu n’as jamais eu de petit ami ? … Désolé, ma question est déplacé, c’est juste que je trouve ça tellement surprenant… C’est vrai, quand même, quand on te regarde et qu’on te parle, plein d’hommes doivent te courir après.

Plein d'hommes devaient lui courir après? Euuuh, non? En fait même s'ils avaient voulu lui courir ils n'auraient pas puent parce qu'elles les aurait envoyés en séjour permanent à l'hôpital. En fait, très peu ne l'avait ne serait-ce rencontré. Réfléchissant à sa réponse Fuyu demanda au jeune homme s'il aimait le chocolat.

-Non, non, ça me va, j’aime, je suis désolé, je vais le boire, ta servante ce donne vraiment du mal.

-Oui c'est la cuisinière qui a mit cette recette au point pour moi.

Fuyu se racla la gorge pour répondre à la question de Zack sur ses relations intimes, lorsqu'une musique retentit dans la pièce. La jeune fille envoya tout les malédictions qu'elle connaissait vers ses imbéciles de bonnes. C'était surement Geneviève! Mais à quoi pensait-elle? Certes Zack était gentil et mignon et c'était facile de bien s'entendre avec lui. Mais ça n'allait pas plus loin! Enfin, pas encore! Ça ne pourrait peut-être pas aller plus loin d'ailleurs. Ça n'avait rien à voir avec Zack c'était juste que Fuyu avait peur. Plus que ça, les contacts physique avec les membres du sexe opposé la dégoûtait. Elle s'était beaucoup amélioré au cours des dernières années, et elle était maintenant capables de supporter qu'on la touche. Mais elle ne serait surement pas capable d'être intime avec quelqu'un. C'était tout bonnement impossible. Du moins pour l'instant. Fuyu se racla à nouveau la gorge et se lança.

-Je ne sais pas si on me court après mais j'ai tendance à éviter les hommes. Il y a quelques années je ne supportais même pas que l'on me touche. Ce n'était pas aussi terrible envers les femmes, mais j'avais vraiment du mal avec les hommes. Du coup je n'ai jamais vraiment eu d'amis de mon âge sans parler de petit ami.

-Mais qu'importe Fuyu n'as besoin que de moi!

Voilà c'était dit. Il allait surement penser qu'elle était bizarre mais il valait mieux qu'il le sache.

Le volume de la musique augmenta. La musique était un air de valse, Geneviève voulait qu'ils dansent? Fuyu fumait intérieurement. Il fallait la virer! Ce n'était plus possible! De toute façon, comme Zack l'avait dit il n'avait pas l'habitude de ce genre de situation. Donc il était fort possible qu'il ne sache pas danser. Hohohoho! Geneviève ton plan tombe à l'eau! Fuyu but sa dernière gorgée de chocolat et posa la tasse sur la petite table. Tiens maintenant qu'elle y pensait...Il y avait bien un homme qui lui courait littéralement après...Le baron de machin-truc-qui-avait-un-nom-que-Fuyu-n'arrivait-pas-à-retenir, venait souvent rendre visite sans y être invité. Il entrait dans le manoir comme si c'était chez lui et tentai de charmer la jeune maîtresse des lieux. Jusqu'ici il n'avait jamais essayé de l'approcher puisqu'elle était sévèrement gardée par Shirohime qui sortaient ses scalpels dès qu'elle le voyait arriver. La plupart du temps, Fuyu essayait de s'enfuir avant qu'il n'arrive. C'est dans ces situations qu'il lui courrait après.

-Quand tu dis me courir après...Tu veux dire quelqu'un qui m'apporte des fleurs, qui s'invite chez moi sans mon autorisation, qui m'envoi des lettres qui puent l'eau de Cologne tout les jours, et qui me courre après quand je m'enfuis? Parce qu'il y a quelqu'un comme ça...

HRP: Désolé, c'est court!

La musique continuais de paraitre dans la salle, je l’écoutais avec attention, elle était entrainante. Je regardais Fuyu en souriant. Oui, j’allais l’inviter à danser. Dans le monde des humains, avant de mourir, j’avais par une amie appris la danse, les danse de salon comme ils disaient et la valse en faisait partie. Certes, j’étais loin d’être le meilleur, j’avais juste les bases, les pas de bases, je pensais que cela pouvait passer après tout. Cependant j’allais attendre quelques minutes, je ne savais pas qui avait mi cette mélodie, mais je ne pensais pas que cette personne allait arrêter. Ils cherchaient vraiment à ce que la jeune demoiselle ne soit plus seule. Je remerciais cette personne par la pensée, je n’allais vraiment pas me plaindre.
Fuyu m’expliquait que c’était la cuisinière qui avait mit cette recette au point exprès pour elle. Je prenais la tasse et je goûtais. Il était vraiment très bon, je n’en avais jamais bu avec un tel goût auparavant. Tous les ingrédients ressortaient, il était possible de ce rendre compte que chacun de ses derniers étaient responsable de se goût unique. Il était à la fois fort et raffiner. Je le déguster gorgées après gorgées. Je continuais de sourire, pourquoi arrêter ? Aucune raison. La jeune fille allait parler, elle se raclait plusieurs fois la gorge. Etait-elle gênée ? Oui… Et par ma faute, ma question avait surement du la mettre mal à l’aise, cependant elle y répondait ;

-Je ne sais pas si on me court après mais j'ai tendance à éviter les hommes. Il y a quelques années je ne supportais même pas que l'on me touche. Ce n'était pas aussi terrible envers les femmes, mais j'avais vraiment du mal avec les hommes. Du coup je n'ai jamais vraiment eu d'amis de mon âge sans parler de petit ami.

D’un certain côté sa réponse m’allait à la perfection, cela voulait dire qu’elle était libre, d’un autre, qu’elle n’était pas prête. Je me demandais si c’était qu’elle n’était pas prête ou bien qu’elle n’avait jamais trouvé une personne. La deuxième solution me convenait bien plus. Mais, je trouvais cela triste pour elle, car ça voulait dire, qu’elle était souvent triste. J’étais triste pour elle, elle était solitaire, la solitude devait lui peser à force. Oui, elle avait sa peluche, mais elle ne valait en rien la chaleur d’une personne, une personne qui pourrait l’aider, la réconforter et la prendre dans ses bras dans les moments difficile. Sa peluche était avec elle, mais Jack, ne pouvait pas faire tout cela.

-Mais qu'importe Fuyu n'as besoin que de moi!

Je ne pouvais m’empêcher de lancer un regard noir à la peluche, le regard était partie tout seul. Tout d’abord, je n’étais absolument pas d’accord, ce n’était pas une question de jalousie, du moins, pas au départ. Toute personne vivante, même en Enfer avait au fond besoin d’autre chose qu’une poupée en guise d’ami. A part lui parler, il pouvait faire quoi pour elle ? Et dans un second, oui, j’étais un peu jaloux… J’espérais que Fuyu n’avait pas remarqué. Je levais rapidement mon regard sur elle de nouveau avec un sourire. Étais-je capable de la faire sortir de sa solitude ? De lui montrer qu’il y avait des personnes autour d’elle ? Je ne savais vraiment pas, mais je n’avais rien à perdre. Fuyu ce raclait une nouvelle fois la gorge, après avoir réfléchi quelques secondes pour enfin reprendre la parole ;

-Quand tu dis me courir après...Tu veux dire quelqu'un qui m'apporte des fleurs, qui s'invite chez moi sans mon autorisation, qui m'envoi des lettres qui puent l'eau de Cologne tout les jours, et qui me courre après quand je m'enfuis? Parce qu'il y a quelqu'un comme ça...

Non, je ne pensais pas à ça, du moins pas tout. J’étais seulement d’accord pour la personne qui apporte des fleurs mais pas le reste. Un homme ce devait d’être romantique, de sentir bon, mais pas forcément l’eau de Cologne qui était une odeur bien trop forte pour ses demoiselles. L’homme dont elle parlait semblait vraiment étrange et elle ne voulait pas le laisser faire apparemment. Au vu de ses dires, je pouvais aisément comprendre.
La musique augmentait de volume, le moment était venu. Je me levais, pas forcément très à l’aise, je ne faisais jamais cela. Je mettais un bras derrière mon dos et j’allais dans sa direction. Arrivé devant elle, je lui faisais un grand sourire avant de faire une révérence, de lui prendre la main et de lui faire un baisemain ;

-Désolé, je ne suis pas très fort pour ses choses là, mais… M’accorderais-tu une danse ?

Je tenais doucement sa main et je relevais ma tête vers elle. Je ne savais pas du tout ce qu’elle allait répondre, oui ou non. Je souhaitais par-dessus tout une réponse positive, je restais ainsi à la regarder avec un sourire et je lui répondais ;

-Non, je ne parle pas de ce genre de personnes, ce que tu raconte est plutôt du harcèlement. Je parle d’une personne qui serait la pour toi, qui te ferais des sourires et plein de compliments comme il e doit au vu de ta beauté et gentillesse. Oui, il t’offrirait des fleurs, des roses, des magnifiques roses rouge, couleur de l’amour… Un homme… Qui te demanderais de danser avec lui… Les princes charmants n’existent pas, je parle d’un homme qui serait toujours là pour toi et que tu aimerais en retour.

Oui, il y avait un énorme sous entendu, elle avait forcément comprit et c’était pour cela que je faisais un sourire gêné. Je ne voulais pas que sa peluche parle une nouvelle fois, la musique continuait et je remerciais de tout cœur cette personne pour ne pas l’arrêter. Maintenant, j’attendais juste sa réponse. La regardant dans les yeux.


(Désolé, c'est court ^^")

Zack souriait toujours, c'était fou qu'il arrive à sourire comme ça pendant des heures. Il devait avoir des crampes à la fin de la journée non? Il exécuta un révérence puis il enchaina avec un baisemain.

-Désolé, je ne suis pas très fort pour ses choses là, mais… M’accorderais-tu une danse ?

Fuyu se sentit rosir un petit peu. C'était la première fois qu'on l'invitait à danser de cette manière. La jeune fille ne savait pas si elle devait se réjouir ou pas. Elle n'avait aucune intention de faire plaisir à Geneviève mais d'un autre côté...En toute honnêteté, elle était vraiment très contente que Zack l'ait invitée à danser. Elle regarda Zack,...qui la regardait aussi. Rougissant de plus en plus elle s'empressa de baisser les yeux.

-Non, je ne parle pas de ce genre de personnes, ce que tu raconte est plutôt du harcèlement. Je parle d’une personne qui serait la pour toi, qui te ferais des sourires et plein de compliments comme il e doit au vu de ta beauté et gentillesse. Oui, il t’offrirait des fleurs, des roses, des magnifiques roses rouge, couleur de l’amour… Un homme… Qui te demanderais de danser avec lui… Les princes charmants n’existent pas, je parle d’un homme qui serait toujours là pour toi et que tu aimerais en retour.

Du harcèlement? Oui maintenant qu'il le disait ça correspondait bien à...Hein? C'était...quoi? Une déclaration? Ou juste son avis? Comment était-on censé répondre à ce genre de chose? En voyant le sourire un peu gêné de Zack, Fuyu compris immédiatement le sens profond des paroles du jeune homme. C'était heureux qu'il n'y ait pas de miroirs dans la pièce parce que la jeune fille se doutait que son visage était rouge écrevisse.

Fuyu se leva en s'aidant de la main du jeune homme qui tenait toujours la sienne et accepta lm'invitation à danser en bafouillant. La jeune fille n'osait plus regarder Zack dans les yeux. C'était vraiment soudain! Il venait à peine de se rencontrer et voila qu'il lui annonçait plus ou moins qu'il voulait sortir avec elle. Oui, c'était vraiment soudain, trop soudain. Certes, elle appréciait Zack, elle l'appréciait beaucoup, mais...Elle n'était pas certaine de pouvoir...Et...et puis qu'est-ce qui lui disait qu'il ne disait pas ça pour mettre la main sur sa fortune ou peut-être n'était-il attiré que par son apparence? Mais dans ce cas Zack serait un pédophile? Ahem, il n'avait pas l'air d'être le genre de personnes qui sortait avec une fille pour son argent. Mais encore une fois, il venait juste de se rencontrer. Dans tout les cas il allait falloir répondre.

-Euhm...C'est un peu ...soudain.

Fuyu se colla une baffe intérieure. Nul, c'était nul comme réponse. Elle pouvait au moins expliquer sa pensée, non? Sinon, Zack ne comprendrait pas.

-On...On vient juste de se rencontrer alors...Je ne pense pas pouvoir...

Ah! Mais si elle refusait de sortir avec lui, allait-il arrête d'être son ami? Elle ne ce sentait pas capable d'être dans une relation amoureuse mais elle ne voulait pas pour autant perdre son ami.

-Raaaaaaah! J'en ai marre! Fuyu ne te connais pas assez bien pour sortir avec toi! Si tu veux avoir une chance, tu dois apprendre à la connaître d'abord! Et surtout la laisser apprendre à TE connaître!

Jack qui avait été laissé sur le fauteuil lorsque Fuyu s'était levé pour danser venait d'exprimer clairement la pensée profonde de la jeune fille. Enfin, pas le "j'en ai marre"...Les paroles de son ami calmèrent la neko. Elle regarda Jack et lui sourit tendrement. Décidément, elle ne savait pas ce qu'elle ferait sans lui! C'était parce qu'il était toujours à ses côtés qu'elle avait réussi à tenir le coup jusqu'à aujourd'hui. Il ne pouvait que parler mais pour Fuyu il avait bien souvent été l'unique réconfort. Il était malpoli et ne disait jamais ce qu'il pensait vraiment, mais il la comprenait mieux que personne. Fuyu savait que Jack était probablement contre Zack, il était comme un grand frère qui refusait de voir sa soeurette chérie grandir. Pourtant Jack venait d'exprimer la pensée de Fuyu et de donner un conseil valable à Zack. Jack savait que la jeune fille s'était attaché au jeune humain et s'était donc débrouillé pour que celui-ci reste à son côté.

-Comme l'a dit Jack, nous venons juste de nous rencontrer et je pense qu'il est un peu trop pour ça. Mais j'aimerais beaucoup apprendre à mieux te connaître si ça ne te dérange pas.

Fuyu était souriante. L'intervention de Jack lui avait permis de reprendre contenance et de répondre correctement à Zack. Elle avait dit ce qu'elle avait à dire. Maintenant elle espérait que cela serait suffisant et que Zack accepterait cette situation.

Fuyu me regardait pendant un court instant, elle était rouge ? Oui, c’était du moins ce que j’avais cru voir. Etait-ce le fait que je l’avais invité à danser ? Je ne savais pas, ou bien les paroles que j’avais dites. Je ne savais pas si je lui plaisais, au fond de moi je le souhaitais. Je ne voulais pas seulement lui faire la cour comme ma plus part des hommes et ensuite l’oubliais dans un coin, je n’étais pas ce genre de personne. Elle acceptait ma main, à sa façon de m’évitais du regard, je comprenais qu’elle avait très bien comprit ou je voulais en venir. Je savais pertinemment que cela n’allait pas ce passé comme sur des roulettes. Cependant, j’allais lui laisser le temps qu’il lui faudrait. Pourquoi la presser ? Aucune raison. Plus je passais de temps en sa compagnie plus je l’appréciais… Quel était se sentiments étrange… Mon cœur… Pourquoi battait il si fort ? Je posais mon autre main qui était libre sur ma poitrine, en attendant que Fuyu ce lève. Je n’arrivais pas à comprendre cette sensation bizarre, je n’arrivais pas non plus à faire un sourire correct à la jeune fille.
Lui tenant la main je l’amenais vers en endroit plus large du salon, ou nous étions l’espace était trop étroit pour ce permettre de danser la valse. Je m’arrêtais et je me mettais en face d’elle. Elle avait le regard en direction de ses pieds, était elle encore rouge ? C’était à mes yeux la réponse la plus plausible. Je restais là, à regarder ses cheveux attendant que cette dernière remonte le regard et en écoutant la douce mélodie. Je n’arrivais pas à ma calmer, d’un coup, je me sentais nerveux, nerveux mais heureux, c’était vraiment étrange et je ne souhaitais pas que Fuyu s’en rende compte.

- -Euhm...C'est un peu ...soudain.

Je devais avouer qu’elle avait raison, elle avait entièrement raison et en disant cela je comprenais qu’elle avait vu claire. Elle s’avait ou je voulais en venir, ce qui ne me m’était pas forcément à l’aise, même pas du tout. Je ne savais pas comment réagir dans une telle situation. En fait, je ne comprenais pas moi ce que je faisais, la seule chose que je savais c’était qu’elle me plaisait et que je ne savais pas quoi faire. La musique continuait de défilait et nous ne dansions toujours pas, je supposais que la personne qui l’avait mise nous regardait et par conséquent qu’elle n’allait pas l’arrêter. D’après ce que j’avais comprit, j’étais le premier homme à franchir le seuil de cette demeure, il devait donc penser que cela irait plus loin. J’aurais aimé parler avec sa servante, elle devait savoir ce qu’elle attendait d’un homme, mais je ne pouvais pas, je regardais donc les cheveux de Fuyu.

-On...On vient juste de se rencontrer alors...Je ne pense pas pouvoir...

Je mettais doucement une main dans son dos, oui, c’était ainsi qu’une valse se dansait, je devais passer une main dans son dos. Je la posais doucement et timidement bas de son dos pour ne pas trop la brusquer.

-Je sais, excuse moi… je suis très maladroit et je ne peux pas cacher que… Tu me plais…Je ne veux que tu penses que c’est pour ton argent, je n’en veux, je ne sais même pas ce que je pourrais faire avec alors… Tu es vraiment très gentille et douce… Désolé…

-Raaaaaaah! J'en ai marre! Fuyu ne te connais pas assez bien pour sortir avec toi! Si tu veux avoir une chance, tu dois apprendre à la connaître d'abord! Et surtout la laisser apprendre à TE connaître!

Je regardais rapidement Jack, oui, il avait raison. Déjà qu’il ne m’aimait pas de trop au départ, mais là, je ne savais pas quoi faire. Je ne voulais pas qu’une peluche vienne mettre en l’air les espoirs que j’avais. Pourtant, tout n’était pas faux. Je posais de nouveau mon regard sur Fuyu, elle regardait toujours le sol, je voulais lui remonter le visage mais je pensais que se geste allait la mettre mal à l’aise plus qu’autre chose. Je ne bougeais pas d’un centimètre, et je finissais par remarquer que je la regardais tendrement. Je secouais la tête pour faire disparaitre cette façon de la regarder avant qu’elle ne s’en aperçoive. Je ne voulais pas qu’elle voit cela.

-Comme l'a dit Jack, nous venons juste de nous rencontrer et je pense qu'il est un peu trop pour ça. Mais j'aimerais beaucoup apprendre à mieux te connaître si ça ne te dérange pas.

Elle remontait sa tête, j’étais content de pouvoir à nouveau voir son visage, je lui souriais toujours. Je baissais ma tête contre le long de la sienne, oui, il fallait bien ce mettre en position pour danser. Et ainsi, j’espérais que ce que j’allais dire n’allait pas être entendu par cette peluche. Je parlais donc plus doucement ;

-Tu…Tu veux savoir quoi ? Ma vie, il y a pas grand-chose à dire dessus, excuse moi… Mais…*parle plus doucement* j’attendrais que tu sois prête, je… Je voudrais juste que tu me laisse une chance…

J’avais prononcé ses paroles très timidement, je ne savais pas ce que je pouvais faire de mieux. Enfin, il y avait toujours mieux, sans doute que Fuyu valait bien mieux, non c’était sûr. JE me demandais le pourcentage de chance que j’avais pour que je lui plaise, je me disais que cela devait être entre le zéro virgule un et le zéro virgule deux. Cela n’était guère énorme, mais j’allais m’accrocher.

Ils étaient désormais en position pour danser. Maintenant qu'elle était sur le point s'y mettre Fuyu se rendait compte que le kimono c'était pas pratique pour les danses de salon. Elle releva la tête vers Zack. Le jeune homme souriait toujours, d'ailleurs ses dents étaient vraiment blanche. Elle devrait peut-être lui demander la marque de son dentifrice...

-Tu…Tu veux savoir quoi ? Ma vie, il y a pas grand-chose à dire dessus, excuse moi… Mais…*parle plus doucement* j’attendrais que tu sois prête, je… Je voudrais juste que tu me laisse une chance…

Sa voix était de plus en plus faible. Il n'avait probablement pas envie d'être entendu. Fuyu ne put s'empêcher de rire en l'entendant baisser sa voix comme ça. Il était trop mignon! C'était vraiment typique de Zack de dire qu'il n'y avait rien à dire sur lui. La jeune fille commençait peu à peu à cerner le caractère de l'humain. De ce qu'elle avait vu c'était quelqu'un qui ne se trouvait pas du tout important, et qui n'était pas habitué à ce qu'on s'occupe de lui. Voir même qu'on le traite convenablement. C'était à se demander s'il était comme ça à l'origine ou si c'était un effet secondaire de son arrivée en Enfer.

-J'aimerais vraiment savoir ce qu'est le "pas grand chose à raconter" sur ta vie. Et en échange je peux te raconter le peu de choses que je sais sur ma vie. D'accord?

Elle devait bien se l'avouer elle était curieuse. Les humains étaient rares en Enfer, non seulement parce qu'ils étaient les victimes de chasse à l'Homme et autres, mais aussi parce qu'ils n'y en avait pas beaucoup qui atterrissait en Enfer. Du moins en tant qu'humain. Il n'était pas rare qu'un humain se transforme en dobutsu et arrive en Enfer mais qu'un humain arrive en Enfer en tant qu'humain...ça n'arrivait pas souvent. Zack devait donc avoir eut une vie un peu particulière. Surtout qu'il n'avait pas l'air d'un meurtrier en série ou autre criminel quelconque.

Elle hocha la tête pour signaler à Zack qu'elle était prête à danser. Les premiers pas de la jeune fille furent un peu maladroit mais elle se rattrapa bien vite. Elle eut la bonne surprise de voir que Zack était un très bon danseur. Elle se laissa guider par le jeune homme en essayant de ne pas piétiner son kimono.

-Zack, est-ce que tu te souviens encore de quand tu était vivant?

C'était une question qui la titillait depuis u moment déjà. Pour elle, qui avait tout oublier de sa vie précédente, c'était une grande chance que de savoir ce qui vous était arrivé. Le peu de souvenirs qu'elle avait elle les avaient retrouvé en vivant en Enfer. Elle se retrouvait parfois face à des situations qui déclenchaient sa mémoire. Dans ces moments là elles voyaient des bribes de son passé. Parfois les visions étaient très floues et la fillette ne pouvait rien en tirer. Toutefois elle se retrouvait systématiquement avec une migraine terrible qui arrivait parfois des heures après.

Au moment même où elle se faisait ces réflexions, une douleur fulgurante lui traversa le crâne. Fuyu crut d'abord qu'elle ne ressentait que les préludes de son châtiment pour s'être souvenue de sa mort. Elle changea d'avis lorsque la douleur revint s'installer plus puissante que la première fois. La jeune fille ne put retenir un grognement. Lorsque la migraine se fit plus forte encore, elle cria pour de bon. Elle ne voyait plus, ne sentait plus, elle ne pouvait qu'entendre les voix de Zack et Jack dans le lointain. Elle entendit le faible claquement d'une porte et des voix de femmes. Mais qui était-elles? Et qu'est-ce qu'ils lui voulaient tous. Et puis ils s'éloignaient la laissant enfin libre de dormir.

J’étais prêt à lui raconter tout ce qu’elle désirait. Mais il y avait un problème, ma vie ne valait pas grand-chose, alors je ne pouvais pas lui dire grand-chose. On m’avait trahis, voilà, sur moi, il y avait pratiquement que cela à savoir. Je la regardais toujours tandis que je réfléchissais à ce que je pouvais bien lui dire. Non, je ne voyais pas, il y avait vraiment rien de passionnant. Fuyu rigolais, je ne comprenais pas pourquoi mais je le trouver encore plus mignonne quand elle rigolait. Je ne me souvenais pas avoir dis une parole amusante, mais je n’allais pas me plaindre la voir rigolais ainsi était magnifique. L’avais-je mise à l’aise ? Oui, sans doute, sinon elle ne me sourirait pas. J’étais heureux, mon cœur battait la chamade, je ne comprenais toujours pas, je faisais pourtant l’effort, je voulais comprendre ce que cela signifiait. La jeune femme me plaisait elle plus que se que je pouvais croire ? Quand pouvais-je avoir la réponse à cette question ? J’aurais voulu l’avoir dans l’instant… Je me concentrais sur Fuyu et sur ce que je pouvais lui répondre, mais peut être avait elle des questions bien précise, ça m’arrangerais bien du moins.
Je la regardais tendrement, me disant qu’elle était vraiment à croquer. Je ne savais pas trop comment m’y prendre, même pas du tout, devais-je laisser le temps au temps ou bien lui demander si… Je lui plaisais juste un peu ? Non, personne ne pouvait poser pareil question, je me résignais donc, attendant avec impatiente ce que le temps me réservait. J’espérais une belle surprise, mais tout pouvait arriver, le meilleur comme le pire est bien souvent c’était, malheureusement, le pire.

-J'aimerais vraiment savoir ce qu'est le "pas grand chose à raconter" sur ta vie. Et en échange je peux te raconter le peu de choses que je sais sur ma vie. D'accord?

Elle voulait savoir qu’elle était mon pas grand-chose … Je devais bien me doutais qu’elle allait me poser cette question et pourtant, je ne trouvais pas de réponse à lui apporter. Je la tenais toujours de la même manière attendant avec sourire et envie qu’elle soit prête. Etais-je vraiment obliger de parler de mon passer ? Je n’aimais pas le dévoiler, parler de mes parents… Plutôt de mes défunts parents car je ne savais rien d’eux, du moins pas grand et je ne voulais pas qu’elle ait pour moi que de la pitié. Mais, je comprenais bien rapidement que je n’avais pas le choix que de parler de ses derniers et de pourquoi j’avais atterrie ici. Contrairement à la plus part des personnes je n’avais tué personne. Je me demandais si elle me croire. Je voulais apprendre d’avantage de chose sur cette jeune fille qui avait un côté assez mystérieux et je ne comptais pas lui mentir. C’étais ma chance, ma chance de la connaître et de pouvoir lui demandais à la fin de cette discussion ce qu’elle ressentait pour moi. Je lui souriais, un peu gêné, j’allais parler de moi, de mon passer…

-Ma vie… Je ne sais pas comment te dire sa… Je ne veux pas que tu éprouve de la pitié pour moi, je ne veux pas ça de ta part… J’ai perdu mes parents quand j’étais jeune, je ne me souviens plus très bien d’eux, je me rappel juste qu’ils étaient de très bon parents et que je leur doit tout… Quand à mon arrivé ici, j’ai été trahis, vendu en enfer, je n’ai rien fait, jamais tué ni volé, non… Je suis un cadeau à l’Enfer.

Au fond de moi, je me disais que j’avais sans doute méritais d’être ici, e n’avais pas su protéger mes propres parents. Un air triste ce dessiner sur mon visage, tout ses souvenirs, les peu de souvenirs que j’avais de mon enfance, de moi dans le monde des humains me revenais en tête. Il ne m’en restait que très peu, mais assez pour être mélancolique.
Puis, je finissais par lui sourire de nouveau, elle me faisait signe qu’elle était prête à danser. Je me rapprochais un peu d’elle et nous commencions à suivre le tempo de la douce mélodie. Je pouvais voir que le kimono de Fuyu le dérangeais un peu, je baissais ma main derrière son dos pour lui tenir le kimono, enfin lui remonter un peu. Je faisais bien attention de ne pas lui toucher l’endroit ou était posé ma main, c’était à dire le côté de sa cuisse, je ne voulais pas qu’elle me prenne pour un pervers, non, non je n’en étais pas du tout un. Je voulais juste l’aider un peu, il n’y avait pas d’arrière pensé de ma part et c’était pour cela que je prenais soin de ne pas la toucher à cet endroit ou bien même de l’effleurer. Fuyu dansait très bien, mais ce ne devait pas être étonnant pour une personne de son rang, elle devait être habituée avec les bals ou bien je ne savais pas trop à quoi elle devait assister.

-Zack, est-ce que tu te souviens encore de quand tu était vivant?

Je trouvais sa question très étonnante, je la regardais en souriant me concentrant à trouver une réponse. En fait, je ne me souvenais pas de grand-chose, du c’était ce que je pensais. Je ne savais même pas depuis combien de temps j’étais ici, en se lieux, en Enfer. J’avais perdu toute notion du temps et une parie de mes souvenirs. Non, ce n’était pas tout à fait cela, j’avais préféré les refouler, comprenant bien qu’ici, en pensant à des choses tristes, j’allais être bien trop vulnérable.

-Il me reste quelques souvenirs… Mais, je crois que je préfère les oublier, en fait, je ne sais pas, je n’ai pas beaucoup de souvenirs heureux…

Je regardais toujours Fuyu, essayant de sourire du mieux que je pouvais. Elle semblait loin dans ses pensés, très loin, je décidais de me rapprocher un peu plus d’elle, elle semblait triste. Je voulais bien savoir ç quoi elle pensait oui, j’aurais bien voulu. Fuyu ce m’était à grogner, je m’éloigner rapidement d’elle me demandant ce qui était en train de se dérouler. Elle se mettait à hurler, j’étais affolé, je disais son nom, j’avais beau le prononcer elle ne réagissait pas. Je ne savais pas quoi faire. Fuyu commençait à tituber puis à tomber, je la retenais et je la portais jusqu'à un canapé, je la posais doucement dessus et j’enlevais la veste du costard pour la mettre sur elle.

-Fuyu, Fuyu, répond je t’en supplie, dis moi ce qu’il se passe, Fuyu, s’il te plait, aller, je sais que tu peux le faire, j’ai confiance en toi.

Je me souvenais de se qu’elle m’avait dit, je me concentrais pour essayer d’entrer dans on esprit, c’était bien cela non ? Je ne savais pas quoi faire d’autre, j’avais vraiment peur pour elle, je la regardais et je lui prenais une main doucement lui demandant ce se réveiller…

Fuyu...Fuyu...

Tiens on aurait dit la voix de Zack....

Fuyu flottait dans l'Obscurité. Il n'y avait ni haut ni bas, juste le noir. Il faisait tellement sombre que Fuyu ne voyait même pas son propre corps. Elle ne voyait rien, ne sentait rien. A part la douleur. Cette douleur qui allait et venait dans son crâne. Sa punition pour avoir retrouver sa mémoire.

Réveille-toi...

Encore...Se pourrait-il que ce soit vraiment Zack. Normalement il ne devrait pas pouvoir l'appeler. Ou plutôt elle ne devrait plus pouvoir l'entendre. Et pourtant elle avait entendu ou crut entendre sa voix l'appeler à deux reprises... Était-ce juste son imagination? De toute façon, elle pouvait toujours essayer de répondre.

La première étape fut de retrouver sa bouche. Puis il fallut ordonner à sa mâchoire de s'ouvrir. Lorsque la Douleur s'installait, le cerveau s'affaiblissait et ne parvenait plus à commander les autres parties du corps. C'est pourquoi dans l'Obscurité, bouger était une épreuve. Lorsqu'elle eut réussi à entrouvrir sa bouche Fuyu essaya de faire sortir sa voix. Là encore ce ne fut pas facile. Elle réussit tout de même au bout d'un certain à parler.

-Zack...

Elle ne pouvait en dire plus. La Douleur devenait plus insistante. Prenant possession de tout le corps de la fillette. Fuyu se remit à crier. Un cri perçant qui résonna dans l'Obscurité. Il n'y avait plus de son. Il ne restait que le silence. Fuyu flottait toujours dans l'Obscurité. Il n'y avait ni haut ni bas, juste le noir. Il faisait tellement sombre que Fuyu ne voyait même pas son propre corps. Elle ne voyait rien, ne sentait rien, et ne criait plus. Mais une chaleur commençait à se diffuser dans son corps. La chaleur avait commencée dans ses bras. Fuyu le sentait. Elle le tenait serré contre elle et petit à petit il calmait la Douleur.

Jack...

Que devais-je faire ? Je restais impuissant, ne sachant pas ce qu’elle avait, ni comment je pouvais l’aider. Je la regardais, vraiment inquiet pour Fuyu ainsi que par la situation. Elle venait de crier, un cri de douleur vu l’intonation. J’avais réellement mal pour elle. Je me demandais si Jack pouvait me renseigner, m’aider, mais il restait silencieux. Quand on n’avait besoin de lui, il n’était pas là. Mon regard en direction du visage de la jeune femme, je fermais mes yeux, une nouvelle fois pour me concentrer. Cette technique allait-elle marcher ? Je ne savais pas malheureusement, mais je devais tenter, c’était la seule solution que je voyais. Je me disais qu’il devait bien en avoir d’autre, mais j’étais dans un tel état que j’étais incapable de réfléchir. Je souhaitais que Jack m’aide, qu’il me dise comment je pouvais faire pour qu’elle aille mieux et… A quoi c’était du… Cette douleur devait bien avoir une raison. Je me sentais coupable, j’avais forcément dis, ou bien fait quelque chose pour qu’elle se retrouve ainsi. Je me concentrais, j’essayais, si seulement je savais si elle m’entendait, mais je n’en avais aucune idée… Je continuais de lui demandais de se réveiller, que je croyais en elle et qu’elle devait vaincre cette douleur. Je ne savais plus quoi faire, elle ne bougeait plus.
Je tenais sa main un peu plus fort, j’avais entendu dans le pendant que j’étais encore vivant, qu’être prêt d’une personne pouvait l’aider, la chaleur de notre corps ainsi que notre présence pouvait arranger les choses. Ressentait-elle la présence, m’entendait-elle et que faire ? Je n’avais la réponse à aucune de ses questions… Puis, je la voyais bouger, elle essayait d’ouvrir la bouche, elle m’avait donc entendu ? Il ne m’en fallait pas plus pour que je reprenne espoir, l’espoir d’arriver à l’aider.

-Zack...

Elle ce rappelait de mon nom malgré la situation, elle était vraiment une demoiselle extraordinaire. Je ne savais pas quoi lui répondre… Je lui soulevais légèrement la tête et je le prenais dans mes bras. Elle se remettait à crier, j’avais les larmes qui commençaient à me monter aux yeux, j’avais tellement mal pour elle. Je me sentais si impuissant, je n’arrivais même pas à l’aider, alors qu’elle me plaisait énormément. Elle avait maintenant sa tête contre mon torse, enfin, contre la chemise blanche qui recouvrait mon torse. J’essayais de la calmer en berçant se tête, c’était la seule chose qui m’était venu en tête, je n’avais pas trouvé mieux. C’était assez pitoyable d’ailleurs, je pleurais, je sentais les larmes couler le long de mon visage et je n’arrivais pas à les retenir, c’était nerveux. Je mourrais d’inquiétude pour elle. Fuyu, m’avait presque sauvé la vie en me ramenant à son manoir et je n’arrivais pas à lui rendre la pareille. Surtout que je supposais que j’étais un peu responsable. Elle s’était mise dans cet état quand j’avais commencé à parler de mon passer. Avait-elle essayé de se souvenir du sien ? Mais dans se cas, pourquoi avait-elle mal ? Ou était le rapport ? Je savais pertinemment que la jeune fille avait essayé de sa souvenir de son passer sinon elle n’aurait pas posé ses questions, il devait donc forcément avoir un rapport. J’avais bau être qu’un simple humain, je savais réfléchir, ceci était même une de mes forces dans se monde, je n’étais pas un imbécile et je voulais juste protéger Fuyu, même si pour le moment, c’était loin d’être le cas.
Je passais une main dans son dos, l’autre tenait toujours l’une des siennes, je lui câlinais doucement dans l’espoir de la calmer un peu. Elle ne criait plus. Elle avait les yeux fermer, je lui embrassais doucement le front tout en continuant de la regarder.

Jack...

Voulait-elle son ourse en peluche ? Devais-je la poser affin de lui apporter ? Je ne voulais pas bouger, je voulais continuer d’être contre elle en espérant de la calmer, même si cela n’était pas forcément le cas.

-S’il te plait, évite de parler, il ne faut pas que tu bouges, reste tranquille, économises tes forces. Fais juste oui de la tête si tu veux que je t’apporte Jack.

Je lui parlais tout doucement, seule elle pouvait entendre mes paroles.

La Douleur avait nettement diminuer. L'Obscurité était en train de disparaître elle aussi. Fuyu sentit quelque chose tomber sur sa joue. C'était mouillé. Elle ouvrit les yeux et se retrouva nez à nez avec Zack qui pleurait comme une fontaine. La neko mit du temps à analyser la situation. Du coup elle fixa le jeune homme pendant cinq bonnes minutes avant de se redresser d'un coup. Enfin elle ne se redressa pas beaucoup vu qu'elle se trouvait toujours dans les bras de Zack.

-Ça va mieux?

Fuyu se tourna vers l'ours. Jack était toujours assis sur le fauteuil où elle l'avait laissé précédemment. Elle avait pourtant cru le sentir dans ses bras...Décidant de ne pas se poser de questions la fillette sourit à son ami.

-Je vais bien merci. C'est grâce à toi.
-Hehe!

Ah! Il allait recommencer. Fuyu afficha un sourire à la fois indulgent et plein de tendresse.

-Je ne sais vraiment pas ce que tu ferais sans moi! Je suis tout de même absolumment géniale tu ne peut pas te passer de moi! D'ailleurs c'est pas la première fois que je te sauve la vie...

Jack continua sur sa lancée. Il parlait sur un ton pompeux, enchaînant les "tu devrais faire plus attention" avec les "je suis géniale". Il continua comme cela pendant quelques minutes. Il fut obliger de s'arrêter lorsqu'il fut à bout de souffle. Profitant de cette pause pour l'arrêter, Fuyu s'adressa à Zack.

-Je suis désolé de t'avoir inquiéter. Je vais mieux maintenant.

Ce n'était pas un mensonge. Elle omettait juste de lui dire qu'elle allait avoir une grosse fièvre plus tard et qu'elle allait devoir rester au lit pendant quelques jours. D'ailleurs il valait mieux qu'elle aille bientôt se coucher. Elle avisa les bonnes rassemblées derrière Zack. Elle capta le regard de Geneviève et cligna rapidement des yeux deux fois de suite. Ce qui voulait dire "on lance l'opération Scarlet". Ce qui signifiait qu'il fallait qu'elle aille se coucher rapidement sans affoler personne.

Fuyu se dégagea doucement de l'étreinte du jeune homme et se mit à genoux en face de lui. Que fallait-il lui dire? Il avait visiblement été très inquiets et elle se sentait un peu coupable de le virer comme ça. D'un autre côté s'il restait il ne ferait que s'inquiéter plus et ce n'était pas nécessaire.

-J'aimerais beaucoup t'expliquer ce qui vient de se passer mais si cela ne te dérange pas, j'aimerais que l'on fasse ça à un autre moment.

-Fuyu a besoin de se reposer maintenant. Tu ne ferais que déranger en te faisant du souci pour rien.

-Jack!

La jeune fille gronda la peluche pour la forme mais elle savait qu'il venait de l'aider à sa façon. Elle espérait simplement que Zack ne le prendrait pas mal.

-Aujourd'hui je voudrais me reposer mais ce serait bien que tu revienne un autre jour pour que l'on puisse parler.




HRP: J'ai mit Fuyu en rouge foncé et Jack en blanc pour que ce soit plus lisible.

Je ne bougeais pas, j’attendais dans en silence. J’attendais le moment ou elle irait mieux, je me demandais si j’y étais pour quelque chose, non, ce n’était pas possible, je n’avais rien fait. Et si j’avais fait quelque chose sans m’en rendre compte, il était vrai que je ne connaissais pas le fonctionnement de ses personnes qui étaient bien différentes de moi, ce qui pouvait entrainer des problèmes. Je ne savais pas quoi faire, je restais là, à tenir Fuyu dans mes bras. Cela faisait combien de temps que je n’avais pas changé de position ou bien ouvert la bouche ? Je ne savais plus. Des secondes ou bien des minutes ? Cela faisait plusieurs minutes, le temps me semblait horriblement long, j’avais l’impression que chaque secondes était une heure. Se silence, cette ambiance qui régnait, je n’étais pas à l’aise, tout semblé si pesant. Je sentais bouger dans mes bras, une hallucination ? Non, non, non c’étais bien elle, c’était Fuyu, elle bougeait. Je desserrais un peu mes bras, je ne voulais pas l’étouffer non plus et je la regardais. Je n’osais pas lui parler, en fait, je devais lui dire quoi ? Telle était la question plutôt, une phrase bateau ; comment vas-tu ? Non, cela, n’allait pas, je ne pouvais pas me permettre, alors je me taisais, me contentant de la regarder.
Doucement, elle sortait de mes bras, elle se plaçait devant, elle était à genoux, nous étions dans la même position, on pouvait bien voir la différence de taille. Je la regardais quelques secondes avant de baissais mon regard pour me positionner sur mes jambes. Je ne pouvais pas la regarder, je n’avais pas su la protéger et encore moins l’aider. J’avais honte. J’avais beau ne pas regarder, ne pas la regarder, j’écoutais attentivement la conversation qu’elle avait avec Jack. Encore une fois, il ne manquait pas de faire des éloges sur lui-même, ses chevilles allaient finir être énorme. Il se croyait vraiment super, cela me désespérait et m’énervait au plus haut point. Surtout… Je ne comprenais pas ce qu’il avait fait, il n’avait pas bougé, il était resté immobile. Mais bon, ce n’était pas grave, non, je ne voulais pas qu’elle me remercie, je n’avais rien fait, rien fait du tout à mon plus grand regrées. Je voulais juste que sa peluche se taise un peu. Je supposais qu’il ne fallait pas que je lui en demande de trop non plus, c’était pour cela que je ne disais rien, je savais pertinemment que cela serait une perte de temps. La seule chose que je souhaitais venait de se faire, Fuyu allait bien mieux, elle parlait de nouveau et tenait debout.
Elle se tournait dans ma direction, je sentais son regard se poser sur moi, je remontais donc le mien en essayant de sourire du mieux que je le pouvais.

-Je suis désolé de t'avoir inquiéter. Je vais mieux maintenant.

Elle n’avait pas à s’excusait, elle ne l’avait pas voulu, ce n’étais vraiment pas sa faute. Je lui répondais en lui faisant un sourire. Je ne lui parlais toujours. Je pouvais voir qu’elle ne me mentait pas, elle allait en effet bien mieux.

-J'aimerais beaucoup t'expliquer ce qui vient de se passer mais si cela ne te dérange pas, j'aimerais que l'on fasse ça à un autre moment.

Je me relevais, la regardant, elle voulait se reposer et elle essayait de me le faire comprendre poliment. J’avais très bien comprit et je le comprenais très bien, elle venait de faire un malaise, ou je ne savais pas trop quoi, elle devait se reposer pour reprendre des forces et être de nouveau en pleine forme. Cela ne servait à rien qu’elle me le dise avec des pincettes, je pouvais le comprendre et je trouvais ça normal d’ailleurs. Il ne fallait vraiment pas qu’elle s’inquiète pour moi. Certes, je trouvais ce fait très sympathique de sa part mais il n’y avait pas de quoi y aller doucement. Cependant, je ne lui répondais toujours pas, j’avais aucune idée, mais vraiment aucune de ce que je pouvais lui dire, je voulais juste être sympathique envers elle et la connaitre plus, passer du temps avec elle, rien de plus.

-Aujourd'hui je voudrais me reposer mais ce serait bien que tu revienne un autre jour pour que l'on puisse parler

Je tendais une main en direction de la jeune fille pour l’aider à ce lever, je ne lui répondais pas encore, je cherchais ce que je pouvais lui dire, je ne trouvais pas grand-chose. Je lui souriais toujours. Elle voulait vraiment que je revienne ou elle disait simplement cette phrase par politesse ou bien pour me faire plaisir ? Je ne savais pas de trop, j’espérais pouvoir la revoir, même si cela allait prendre du temps.

-Je comprends ne t’inquiète pas, avant que je ne parte, tu as besoin de quelque chose ?

Zack tendit la main dans sa direction. Fuyu la pris et se releva tant bien que mal en s'aidant du jeune homme. Le retour à la verticale fut plutôt difficile. Le corps étant bien fait lorsque qu'on passe du temps allongé et qu'on se relève tout de suite après, le sol continu à vous appeler. Fuyu dut donc lutter avec la gravité pour rester debout pendant quelques minutes le temps que son corps se rappelle qu'il était censé tenir en position verticale.

-Je comprends ne t’inquiète pas, avant que je ne parte, tu as besoin de quelque chose ?

Zack fidèle à lui-même s'inquiétait toujours pour la jeune fille. L'important c'est qu'il ne lui en voulait pas de quasiment le jeter dehors.

-Non je n'ai besoin de rien merci.

Fuyu sourit à Zack pour le rassurer. Elle lui fit signe de la suivre et l'emmena à travers la pièce. dès qu'ils eurent passer la porte, une armée de bonnes menée par Geneviève leur emboîtèrent le pas.

-Je pense que tes vêtements ne sont pas encore secs. L'esclave va te les mettre dans un sac.

Ils passèrent devant la cuisine et arrivèrent dans le hall d'entrée. Avec un timing incroyable l'esclave apparu avec un sac contenant les vêtements mouillés du jeune homme. L'esclave lui tendit le sac puis recula de quelques pas. Aussitôt une apprentie cuisinière rougissante s'avança pour offrir à Zack un paquet contenant un assortiment de gâteaux.

-Considère cela comme un remerciement pour m'avoir sauvé et surtout une excuse pour t'avoir inquiéter.

Fuyu raccompagna Zack jusqu'à la porte. Elle lui fit un signe d'au revoir la main et le regarda descendre les marches. Lorsqu'il eut atteint l bas des marches l'esclave referma la porte. Dés que la porte fut fermée, Fuyu perdit ses forces et s'effondra au sol. Geneviève accouru aussitôt suivi de son armée. La jeune fille entendit vaguement la bonne lui dire qu'elle était brûlante puis l'esclave la pris dans ses bras et elle perdit connaissance.

HRP: C'est très, très court! Désolé.